| Marque |
| Trix |
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| échelle |
| echelle HO |
16,5mm |
| type de courant |
| DC |
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| produit |
| Autorail électriques |
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| Informations sur la technologie et le modèle |
| pneus de traction |
ja |
| éclairage intérieur |
oui |
| intérieur |
oui |
| attelages |
Poche d’attelage NEM 362, mécanisme de couplage court, accouplements Märklin |
| longueur (mm) |
866 |
| lumière |
Signal de crête à 3 feux et 2 feux arrière, changeant avec le sens de déplacement |
| échelle |
1:87 |
| Matériel et design |
Fahrgestell aus Metall |
| avec moteur |
oui |
| volant |
oui |
| Avis d'âge |
ne convient pas aux moins de 14 ans |
| Digital & Sonore |
| Digital & Sonore ex fabrique |
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| pays |
| Benelux |
NS |
| ère |
| ère IV (1965-1990) |
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Modèle : Échelle HO DC. Avec décodeur numérique mfx+ et nombreuses fonctions sonores. Version en 3 parties. Châssis avec tête motrice en fonte moulée sous pression. Motorisation régulée haute performance avec volant d'inertie. 2 essieux moteurs dans le bogie. Bandages d'adhérence. Postes de conduite dans les deux voitures d'extrémité avec aménagement intérieur. Alimentation électrique en fonction du sens de marche via la tête motrice avant respective. Attelages courts spéciaux avec guidage à coulisse. Éclairage intérieur intégré de série. Fonction permanente de l'éclairage frontal à trois feux, des 2 feux rouges de fin de convoi et de l'éclairage intérieur en mode d'exploitation conventionnel, sélectionnable en mode numérique, en fonction du sens de marche. Feux avant sur les voitures de queue 2 et 1, désactivables séparément en mode numérique. Feux avant équipés de diodes électroluminescentes (DEL) jaunes et rouges réalistes. Éclairage intérieur avec des LED blanc chaud. Réalisation détaillée du châssis et de la superstructure. Sur les voitures d'extrémité, représentation de l'attelage Scharfenberg avec cache. Pour la double traction, un attelage rigide supplémentaire est fourni. Version de série des voitures d'extrémité avec portes d'intercirculation fermées. Représentation possible des portes pivotantes à soufflet poussées sur le côté sur une voiture d'extrémité avec la pièce d'insertion jointe.
Modèle réel : Rame automotrice électrique à trois éléments comme train automoteur Intercity, série ICM-1 Koploper des chemins de fer néerlandais (NS). Coloration de base jaune/bleue dans la version standard. 1 voiture motrice comme voiture d'extrémité mBk 2ème classe. 1 voiture intermédiaire AB 1ère/2ème classe. 1 voiture-pilote comme voiture terminale sBk 2ème classe. Affichage de la destination du train Hoek van Holland. Numéro d'exploitation de l'automotrice 4015. Etat de service de l'époque IV, dans l'état de livraison de 1984 à 1988. La série ICM (InterCityMaterieel) de la NS est une automotrice électrique pour le trafic Intercity rapide et confortable. Dans le langage populaire, on les appelle Koploper (littéralement "coureur de tte") en raison des jonctions à l'avant des voitures. La cabine de conduite se trouve dans une nacelle panoramique au-dessus de l'intercirculation, ce qui donne à ces voitures une allure très ramassée et est aussi typique des Pays-Bas que le fromage hollandais. Jusqu'en 2005, il était possible de passer d'une partie du train à l'autre pendant le trajet.En 1983, Talbot a commencé à Aix-la-Chapelle la fabrication en série d'une automotrice à trois éléments, appelée ICM-1, n° de train 4011-4050. A partir du n° 4051, la désignation du type a changé pour ICM-2. A partir de 1990, les ICM (jusqu'alors à trois éléments) ont été livrées en quatre parties (séries ICM-3 et ICM-4). L'exemple du modèle 39425 correspond à l'utilisation du Koploper 4015 en 1987 comme Eurocity 67 "Admiraal de Ruyte" Amsterdam - Londres pour le trajet aux Pays-Bas jusqu'à Hoek van Holland. Rame automotrice électrique à trois éléments comme train automoteur Intercity série ICM-1 "Koploper" des chemins de fer néerlandais (NS). Coloration de base jaune/bleue dans la version standard. 1 voiture motrice comme voiture d'extrémité mBk 2ème classe. 1 voiture intermédiaire AB 1re/2e classe. 1 voiture-pilote comme voiture terminale sBk 2ème classe. Affichage de la destination du train "Hoek van Holland". Numéro d'exploitation de l'automotrice 4015. Etat de service de l'époque IV, dans l'état de livraison de 1984 à 1988.
Die wechselvolle Geschichte von Trix spiegelt auch ein Stück Wirtschaftsgeschichte in Deutschland wider. Zusammenschlüsse und Übernahmen brachten immer wieder neue Besitzverhältnisse und Produktschwerpunkte. Dennoch kamen aus dem Hause Trix Entwicklungen, die zu den Meilensteinen der Modelleisenbahn zählten.
Ursprung war die 1838 gegründete Firma J. Hafner, danach die Vereinigten Spielwarenfabriken Andreas Förtner und J. Hafners Nachf. AG, die anfangs Zinnfiguren und dann auch Blechspielwaren produzierte. Zu den späteren Besitzern gehörte unter anderem Stephan Bing, der 1928 das Wissen für die Modelleisenbahn einbrachte.
Nach ersten antriebslosen Rollmodellen im Maßstab 1:180 kam 1964 Minitrix auf den Markt, die elektrische Modellbahn für die Spur N. Im gleichen Jahr erschien auch Trix International, das Zweileiter-Gleichstromsystem nach NEM. Die Trix Express-Modelle wurden nun parallel auch für International angeboten. Schon 1973 kam mit Trix e.m.s. die elektronische Mehrzugsteuerung. Trix e.m.s. verdoppelte die Möglichkeiten, Züge individuell zu steuern - beispielsweise konnten bei Trix Express mit Oberleitung sechs Lokomotiven unabhängig voneinander fahren.
1983 begann mit Selectrix das digitale Zeitalter. Die Vielzugsteuerung mit Mikroprozessor-Elektronik ist normkompatibel und läßt sich auch für andere Spurweiten und Marken einsetzen. Selectrix löste schließlich das e.m.s.-System ab.
Die Odyssee der Eigentumsverhältnisse fand ihr gutes Ende, als Trix 1997 von Märklin übernommen und Tochtergesellschaft der Märklin Holding wurde. Der Zusammenschluss der beiden Traditionshersteller verspricht eine kontinuierliche weitere Entwicklung, bei der Trix alle Vorteile und Kompetenz für Gleichstrombahnen in N und H0 umsetzen kann.
Das aktuelle Sortiment umfasst die Produktmarken Minitrix, Trix H0 (ehemals International), Express und Selectrix. Bereits seit 1978 kooperiert Trix mit Märklin bei Projekten wie zum Beispiel dem König-Ludwig-Zug und dem Kaiserzug Wilhelm II.
Gewiefte Modellbahner erkennen ein Trix-Modell, ohne auf die Marke zu schauen. "Typisch Trix" heißt es dann, was in der Regel als Kompliment gemeint ist. Tatsächlich hat die Marke ein Image, das für N und H0 gleichermaßen gilt und sich durch Epochentreue, liebevolle Detaillierung und lupenreine Bedruckungen auszeichnet.
Als Nürnberger Unternehmen haben wir uns besonders der barocken Pracht der Länderbahnen, speziell derjenigen Bayerns, angenommen. Dabei beschränken wir uns nicht etwa auf einige Parademodelle. Wer seine Anlage einer bestimmten Zeit widmet, kann komplette Reise- und Güterzüge epochengetreu zusammenstellen. Vom Glaskasten bis zur eleganten S 2/5 stehen geeignete Lokomotiven zur Auswahl.
